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La [[Fédération des hautes-terres]] a fait beaucoup pour assimiler, synthétiser et réécrire le domaine spirituel. La pratique de la religion n’est que tolérée et il y a des « bons » et des « mauvais » cultes : les bons sont contrôlés par l’administration et distillent des versions édulcorées et dont les symboles ont été subtilement réécrits pour coller à l’idéologie en place. 

Ainsi, on retrouve, suivant les endroits, les notions de « peuple élu » (i.e. la nation highlander), intégrées dans les régions d’obédience bouddhiste à un cycle de la réincarnation, un « culte du [[Gabriel Fore|Président]] » qui se rapproche du culte des ancêtres chinois ou africains, ainsi que la notion de « mandat céleste » pour justifier la Présidence à vie.

Les cultes locaux « originels » (bouddhistes, hindouistes, confucianistes, musulmans, chrétiens, animistes, etc.) subsistent encore, mais ont une influence très faible. Ils sont souvent assimilés à des mouvances sectaires, sous la supervision de la très officielle [[Brigade des cultes]].

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