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Catégorie:Géographie (Copacabana)

De Tivipédia
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Le territoire de la Ville libre est composé de plusieurs parties : Rio de Janeiro, Copacabana, les faubourgs (aussi appelés « la campagne », même si les terres cultivées sont plus du domaine de l’exception que de la règle), la douane, le starport et les cités aquariennes (aquarias). Ces parties sont délimitées par des barrières naturelles, ce qui leur donne un caractère particulier et un aspect d’indépendance les unes par rapport aux autres, mais il ne faut pas s’y tromper, la Ville libre est réellement une entité politique solide.

Copacabana est divisée en 25 Districtos, ayant chacun son service de voirie et de police, ainsi qu’une administration propre. De nombreuses usines de retraitement des déchets et d’épuration des eaux contribuent à une mer très propre. Il y a une raison fort simple à cela : toute l’eau potable vient de la mer, via des usines de désalinisation. Le système d’égouts de la ville est aussi à 80% en circuit fermé. Ce qui n’empêche pas que certains quartiers sont parfois à la limite de la salubrité.

Géographie physique

D’un point de vue physique, celui qui pense que les environs sont plats comme un discours politique en est pour leurs frais : la présence du Pain de Sucre et du Corcovado, pour ne citer qu’eux, témoigne d’un relief des plus tourmentés. Copacabana est sise entre mer et montagne : nombreux sont les quartiers en pente.

La baie de Rio de Janeiro, qui a donné son ancien nom à la ville (les premiers explorateurs européens ont cru que c’était l’embouchure d’une rivière), a longtemps servi de port naturel ; Niterói a encore des installations portuaires dignes de ce nom, mais côté Copacabana, il ne reste que des restes. Le fond de la baie est d’ailleurs constellé d’anciennes infrastructures et d’épaves ; c’est un lieu passablement pollué et peu recommandé à la baignade.

La Lagoa R. de Freitas, ancien lagon d’eau saumâtre, a été assaini et transformé en réservoir d’eau potable ; ce fut même le premier des grands travaux de la Ville libre, dès 2020. Une usine de désalinisation bloque le canal qui mène à la mer, fournissant l’eau potable aux quartiers environnants et rejetant le surplus dans le lac artificiel. Le canal, bien que désormais assaini aux mêmes normes que le reste de la ville, a gardé le surnom de « grand égout » et la mauvaise réputation qui va avec.

Météo

Copacabana se situe dans l’hémisphère sud. Ce qui signifie, pour commencer, que les saisons y sont inversées : l’hiver court en gros de mai à octobre et l’été prend le relais entre novembre et avril. Printemps et automnes sont courts (un mois, deux tout au plus) et assez agités ; c’est la saison des tempêtes.

L’hiver à Copacabana est une saison calme et fraîche, où la température oscille en moyenne entre 10 et 25° C; l’été est très chaud, étouffant même: on atteint facilement les 40° C et plus, avec un fort taux d’humidité. En été, c’est quasiment la sieste obligatoire entre onze heures du matin et cinq heures de l’après-midi. On parle d’ailleurs souvent de « saison diurne » et « saison nocturne » pour l’été et l’hiver, respectivement.

Les tempêtes sont souvent très impressionnantes pour le non-initié. Le Copacajun moyen les considère comme le Breton, la pluie : si les voitures restent au sol, ce n’est pas une tempête. Les pilotes de Copacabana sont d’ailleurs réputés pour décoller par des temps impossibles ; on en a même connu qui faisaient peur aux Rowaans... Au centre-ville, l’architecture a souvent été conçue pour minimiser l’impact des vents forts dans les rues.

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