Malariëntur
Premier Malariëntur
Modèle:Chantier Le Malariëntur était le conseil exécutif chargé de voter, de choisir et d'appliquer les lois, ainsi que les accords commerciaux entre les trois parties originelles de l'Alturisha. Il arbitrait aussi les litiges et se réunissait sur la lune d'Auo, Eltander. Ses décisions se faisaient à l'unanimité ou ne se faisaient pas, selon le principe : une colonie, une place, une voix. Une telle composition et de tel pouvoirs discrétionnaires auraient dû rendre la proto-Alturisha ingouvernable. Etrangement pourtant, il fonctionna plutôt bien.
Il ne dura cependant qu'un temps : en 130 après la guerre stellaire, Terek Halnar fut choisis par voie légale comme le grand manitou des Royaumes Intérieurs, même si certains disent que l'ombre de l'Iläe survolant Eltander aurait été pour quelque chose. Dans la foulée, le Malariëntur fut dissout. Il devait réapparaître de temps en temps, au grès des gouvernements, des nostalgiques, mais jamais sous sa forme primordiale et ne fonctionna jamais tout-a-fait par la suite.
Deuxième Malariëntur
Le deuxième Malariëntur a être connu, en fait le treizième, fut le Malariëntur qui présida les royaumes durant les années d'occultation. Apparemment, le seul lien avec le premier Malariëntur est la réutilisation du même nom : ce malariëntur ressemblait plus à un conseil des sages, composé de cinq conseillers mythiques (Naali). Ils semblent n'être que la partie immergé de l'iceberg d'une profonde révolution culturelle des royaumes, comme le prouve un certain nombre de travaux commencée durant cette période. Malheureusement, les informations sur cette période sont largement incomplètes.
Ce conseil démarra la construction du Système de Défense Semi-Fixe des royaumes qui devait toujours se poursuivre jusqu'à aujourd'hui.
En 793 sur le Calendrier des Royaumes le deuxième Malariëntur disparu, sans que l'on sache si ce n'est d'une révolution, d'un coup d'état, ou plus probablement d'un de ces fréquentes disparitions en arrière plan que les Alturishariens apprécient. Il est fort probable qu'il continua un certain temps de contrôler les choses en sous-mains.