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Course du Sakura

De Tivipédia

La course du Sakura est des concours de beauté les plus prisés de Paris. Comme beaucoup d'autres choses dans cette ville, ses règles sont complexes et peu claires. Il ne s'agit pas réellement d'une course, mais plutôt d'une séquence d'épreuve d'élégance sociale. Le concours est chaque année organisé au printemps sous le patronage du couvent de Sainte Marie-Madeleine des Talons Aiguilles et de la diaspora japonaise.

Les trois premières épreuves, le marché, le temple et la réception sont publiques et ne changent pas tellement d'une année à l'autre. Les épreuves suivantes sont privées, et le résultat est rendu publique selon l'humeur des organisateurs. L'épreuve du marché se passe dans un grand marché dans le style du japon médiéval organisé dans une gigantesque caverne. Les concurrentes doivent convaincre une série de marchands pour obtenir des marques de bois. Le marché est ouvert à toute personne en costume approprié.

La course du Sakura trouve son origine dans les concours de Miss France. Avec l'arrivée au pouvoir des Laguilléristes, le concours se retrouva avec des épreuves ouvrières, notamment une course à la riveteuse. Avec les années, elles tournèrent au pugilat pur et simple, souvent à la grande joie des spectateurs. Ces jeux du cirque furent conservés par les bonapartistes, malgré la pression des mouvement religieux. Il faudra attendre l'avènement de Jacques II pour que le concours soit remplacé par quelque chose de sexy, mais plus classe. Après deux ans d'intrigues, l'organisation du concours fut attribué aux sœurs de Sainte Marie-Madeleine et à la diaspora nippone. Le changement fut aussi l'occasion de se débarrasser de l'épithète Français. Les premières garantissant que la compétition reste décente et de bon goût, les seconds faisant office d'arbitres neutres et assurant que les règles restent complexes et abstruses.

À noter que depuis 2179 a été établi la règle du ichiryō dake (一領だけ) qui signifie que les concurrentes ne peuvent obtenir de nouveaux vêtements en cours de compétition. Cela signifie que les vêtements japonais traditionnels doivent pouvoir se transformer en robe de cocktail.