Le Cepmes-nation

Le Cepmes est-il une nation ? Il contrôle au moins une planète : Fantir. Il contrôle aussi un certain nombre de mondes sur lesquels il y a un gouvernement de tutelle, en attendant une procédure d’autodétermination, comme sur les planètes redécouvertes.

Mais alors, le Cepmes a-t-il le droit de siéger au Cepmes ?

Bon, c’est un peu plus compliqué que cela. Il faut dans ce cas comprendre le Cepmes comme administrant des territoires au nom de toutes les nations de la Sphère. Mais là encore, les textes de lois sont très vaporeux, quand ils ne sont pas inexistants ou contradictoires.

Les territoires administrés

Il y a aussi, au sein de certaines planètes, souvent dans des zones de conflits, des portions de territoire qui sont administrés par le Cepmes. Ce sont des zones démilitarisées, pour des raisons humanitaires (centre de population important) ou économique (site vital : champs pétrolifères, mines diverses, etc.). Leur situation est là encore temporaire, les terres étant restituées à leur pays d’appartenance à la fin du conflit.

C’est notamment le cas de plusieurs zones sur Alt, qui ont été mises en place lors du retour des Talvarids engagés pendant la Guerre stellaire et qui, depuis l’invasion highlander, servent de postes d’observation et de centres de distribution pour l’assistance aux populations déplacées par le conflit.

La « nationalité Cepmes »

Toute personne naissant ou habitant pendant plus de vingt ans sur Fantir ou sur une planète administrée par le Cepmes obtient automatiquement un passeport du Cepmes. Pour un territoire administré, lorsqu’il devient, ou se rattache à, une nation indépendante, les citoyens Cepmes perdent ce passeport au profit de celui du nouvel État ; il n’y a pas de double nationalité possible avec un passeport du Cepmes.