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Synopsis (Copacabana)

De Tivipédia

Que faire à Copacabana ? Quelles plages, quelles boîtes de nuit à la mode, quelle vedette qui monte, quel bon restaurant ? Qui espionner, qui surveiller, qui buter pour lui piquer son matos ? Autant de questions qui ne trouveront sans doute pas de réponses dans les quelques synopsis de scénarios suivants.

Élections piège action

Les élections dans le Leme Aquaria sont entachées d’irrégularités massives – suffisantes pour qu’on annule le bazar – et les personnages enquêtent (engagés par une des deux parties, Condor ou journalistes). Aux prises, un autochtone et un « parachuté ».

Le parachuté a triché : il a fait bidouiller le système informatique (une nouvelle infrastructure de vote avait été installée récemment), engagé des « voteurs professionnels » d’autres quartiers, via son parti (pratique courante) et payé des gros bras pour discréditer le candidat autochtone.

Aux personnages de remonter l’histoire, dans l’atmosphère survoltée d’une veille d’élections (même les matches de foot sont plus calmes). Un des informaticiens magouilleurs a gardé une copie du programme, dans l’espoir de faire chanter le tricheur. Un des faux lemures est une montagne de muscles, surnommée « Mammouth » et bien connue à São Cristovão. Pour les faux électeurs, il faudra passer par le directeur de campagne du tricheur, qui a tout gardé dans son coffre.

Des trous dans le jardin

Une secte qui foire, à Copa, c’est classique. Dans le cas présent, c’est de l’ultra-classique : le gourou s’est barré avec la caisse. La secte est une petite communauté, originellement baba-eyldarinoïde, dominée par un escroc charismatique.

L’ancienne équipe a repris le dessus, mais est dans une merde gris foncé : la Condor les harcèle, un avocat veut récupérer un des adeptes, qui ne veut pas partir, du matériel disparaît, les autochtones manifestent (avec des torches et des fourches) et quelque chose saccage les récoltes (la secte est une communauté agricole aux alentours de Ilha).

Les problèmes, au final, sont de trois types (oublions les villageois, qui râlent parce que, et la Condor, qui enquête). L’avocat est un Américain, qui travaille pour un client américain et qui, de fait, ne considère pas un « non » copacajun comme un vrai « non » (ça implique l’emploi de mercenaires pour une exfiltration musclée, si nécessaire). Les anciens fidèles du gourou, eux, cherchent à mettre la nouvelle équipe en difficulté afin de reprendre les choses en main et conspirent. Enfin, l’ancien gourou n’est pas très loin. Comme il est parti en catastrophe, il a planqué son butin dans un champ, mais ne se souvient plus d’où et a engagé un arcaniste spécialisé dans le contrôle des animaux pour le retrouver (d’où les trous dans le jardin).

Bibliophilie

Un Eylda contacte les personnages pour qu’ils l’aident à retrouver un ouvrage ancien qui appartient à sa famille. Il soupçonne qu’il a été piqué par la Rose de Mars ; cette dernière nie en bloc.

En fait, c’est bien la Rose de Mars qui a piqué le bouquin ; mais ils se sont fait doubler par un des deux exécutants, qui leur a refilé une copie. Le réel commanditaire est Son Excellence Jakob von Aa, ambassadeur européen.

Il y a deux problèmes : d’une part, démêler le vrai du faux et, d’autre part, aller récupérer le bouquin dans l’ambassade européenne, qui est quand même un petit peu protégée. S’il n’y a pas d’entente préalable, la Rose de Mars risque de vouloir faire de même (ou essayera de doubler les persos à la fin). S’ils ne se méfient pas, les personnages ont toutes les chances de finir le scénario avec la copie.

Costume fatal

Un laboratoire de recherche semi-privé highlander a développé un revêtement qui provoque des phénomènes d’hystérie de masse, prévu pour être appliqué sur les banderoles d’agitateurs politiques. Une première production aurait dû être envoyée discrètement dans la Fédération, mais suite à une embrouille administrative qui implique un marchand Siyan récemment cloné et une inspection du Cepmes, le chargement a abouti au Starport de Copacabana.

Les personnages sont engagés en sous-main par le Siyan, pour retrouver le chargement et vérifier de quoi il s’agit réellement, vu que ce chargement semble valoir plus que ce qu’on lui avait affirmé. Le problème c’est que l’étoffe, jolie et brillante, a été vendue au marché gris pour faire des jolis costumes pour le carnaval. Outre le premier effet kiss-kool, qui est donc de causer des hystéries de masse, l’étoffe a un second effet non documenté : il tend à devenir explosif au contact d’eau légèrement salée (genre de la sueur).

Outre les personnages, il y a naturellement les services secrets highlanders et les services de santé, mis sur le coup par une équipe de samba concurrente.

L’arme à l’œil

Il y a du rififi dans la « 2030 » : sur le site de Niterdi, des caisses disparaissent en laissant du chaos dans l’inventaire, des gens fouillent dans les papiers sans laisser de traces sur les systèmes de sécurité et tout le monde fait comme si de rien n’était. Les personnages, mandatés par la direction centrale, enquêtent.

À la base, il y a les souterrains : un tunnel oublié de tous aboutit dans un des entrepôts du site ; des petits malins de l’ANPA se sont aperçus du truc et vont y faire leurs courses. De plus, un des directeurs du site s’est aperçu que la Douane avait passé en commande, discrètement, de matériel de guerre (STLG + lance-grenade), ce qui est Mal mais, surtout, cher. Comme il a une grosse prise de dette, il a essayé de revendre la caisse à ses créditeurs (la mafia géorgienne).

Pour tout arranger, les Highlanders sont sur la trace de l’ANPA, la Douane est sur la trace de ses jouets et la Condor tient les mafieux à l’œil. Si tout ça ne se finit pas en fusillade générale et en poursuite épique dans les souterrains, c’est que le déhemme est nul !